Les Actus...

Cela se passe ici

Les 4èmes « graines de paléontologues »

Dans la continuité de l’action éducative « Graine de paléontologue » proposée par le réseau Géoparcs, les élèves de 4e1 et 4e3 devaient se rendre aux Phosphatières du Cloup d’Aural et réaliser des ateliers de science participative. Compte-tenu de la situation actuelle, se sont les animateurs qui sont venus dans notre établissement. Ils ont pu réaliser deux ateliers :

• Atelier « reconstitution de paysage » : 6 équipes ont travaillé sur un bac de fossiles différent afin de reconstituer les paysages du passé dans le Quercy. Leur réflexion s’est basée sur le principe de l’actualisme. Cet atelier a permis d’aborder l’échelle des temps géologiques du jurassique (180 millions d’années) jusqu’au Quaternaire.

• Atelier « tri de sédiments » : après un diaporama sur la formation des phosphatières, les élèves ont été répartis sur 5 postes de travail afin de trier du sédiment de 5 sites différents. A l’aide de pinces fines et de boites de récolte, ils ont récupéré de nombreux fossiles dans les sédiments : os, dents, vertèbres, griffes et même… des crottes de chenilles !

Les élèves sont repartis avec un petit guide de l’explorateur des Causses du Quercy, qu’ils pourront compléter au grès de leurs balades naturalistes et géologiques.

 Les quatrièmes se mettent à la place des paléontologues

Jeudi 25 mars, les 4e1 et 4e3 ont reçu la visite de Thierry PELISSIE, conservateur de la Réserve naturelle nationale d’intérêt géologique du Lot. Cette première intervention a eu pour objectif de sensibiliser les élèves aux patrimoines géologiques de la Réserve et du Géoparc mondial UNESCO des Causses du Quercy.  Les élèves ont pu réaliser qu’à l’aide de données scientifiques on peut montrer que la biodiversité a évolué au cours des temps géologiques et notamment en passant par des crises biologiques.

De la terre à l’espace, le métier de tes rêves ?

Tel était le thème de l’intervention proposée aux élèves de 2nde du lycée Jeanne d’Arc, dans le cadre du Parcours Avenir, mardi 16 mars. Deux Ingénieurs Pour l’Ecole, en mission au Rectorat de Toulouse, sont venus informer les élèves sur toutes les possibilités de métiers offertes par le domaine spatial et aussi parler de leurs parcours. L’espace c’est quoi ? C’est comment ? Quel genre de milieu est-ce ? Qu’est-ce qu’un satellite ? Où le positionne-t-on et pourquoi ? Qui utilise des satellites et pour quoi faire ?… C’est de cette façon que Mme Barbier, de Thalès Global Services et M. Paronneau, d’Airbus Defence and Space ont commencé leur présentation. Une deuxième partie de l’intervention était consacrée à l’emploi dans le domaine spatial. En Europe, cela représente 48000 emplois dont 24000 en France et… 13000 dans la région Occitanie, regroupés en trois domaines majeurs : activités techniques, non-techniques et support. Via des témoignages vidéos, les élèves ont ensuite entendu qu’aujourd’hui, on choisit un métier pour commencer mais que dans le spatial, il est possible d’évoluer. Puis, chaque intervenant a raconté son parcours. C’est ainsi que Mme Barbier leur a expliqué qu’elle a fait des études courtes (DUT), ses parents ayant des revenus modestes. Ensuite, elle a commencé à travailler et repris ses études tout en travaillant et en menant sa vie de famille : en huit ans de cours du soir, elle est devenue physicienne !!  Quant à M. Paronneau, il a tout d’abord intégré une classe préparatoire, puis une école d’ingénieur et a fait sourire les élèves avec son accent « franglais »… C’est un message captivant, intéressant et positif qui a ainsi été transmis à nos jeunes lycéens : avec de la motivation et de la persévérance, on peut arriver à son but et…. Même si la connaissance de l’anglais reste incontournable dans ce domaine mais que notre accent n’est pas parfait, l’essentiel est de pouvoir communiquer.

Le métier d’infirmière présenté aux lycéens de ST2S

Les lycéens de 1ère et terminale ST2S ont reçu la visite d’une ancienne élève aujourd’hui infirmière. Cette jeune infirmière leur a rappelé son passé de lycéenne en série SMS à Jeanne d’Arc, sa préparation aux concours, son choix pour une école dans une ville de taille moyenne, Aurillac. De ses études elle retient les conseils méthodologiques acquis au cours du cycle terminal, elle insiste aussi sur la motivation et la détermination sans faille qui sont nécessaires notamment pour affronter certaines difficultés au cours des stages. Elle aborde ensuite les inconvénients du métier : horaires décalés, manque de reconnaissance de certains patients ou des médecins parfois. Mais ceux-ci sont largement compensés par les avantages : possibilité de changer de services, de mode d’activité, de se spécialiser (anesthésie, bloc opératoire, pratiques avancées et puériculture) et surtout la relation avec le patient, souvent en grande détresse morale et ou physique. Marlène a fait de choix d’un exercice à domicile au sein du service HAD Hospitalisation à Domicile de la Clinique Font Redonde. Ainsi tout en décrivant son métier au quotidien, elle insiste, en plus des compétences techniques sur les qualités indispensables à ce métier : humilité, respect, esprit d’équipe… Un témoignage fort et au cœur de l’action qui nous l’espérons permettra aux élèves de percevoir avec la plus grande justesse les enjeux de ce métier de soignant.

Le groupe « SciencesPo » on line…

L

Suite à l’enquête menée auprès de leurs proches, les élèves de la spécialité Histoire-Géographie-Géopolitique-Sciences Politiques, en Tle générale, ont révélé leurs conclusions en enregistrant l’émission de radio Paroles de Jeunes, diffusée par Radio Présence, le 25 février à 17h45. Ainsi, si la restauration de Notre-Dame de Paris fait consensus, la forme qu’elle doit prendre est plus polémique : les jeunes générations, comme les catégories âgées de plus de 65 ans, s’accordent sur un geste architectural qui marque notre époque (les uns pour moderniser l’ensemble, les autres pour laisser une trace). Dans ce cas-là, l’idée de faire vivre le patrimoine de cette cathédrale est nécessairement un enjeu identitaire. Pour les mêmes raisons, ce qui est assez paradoxal, les catégories d’âge intermédiaire préfèrent une restauration « à l’identique », et c’est l’option retenue par nos politiques (qui sont d’ailleurs majoritairement dans ces âges). Ainsi, on comprend bien que tout est objet à interprétation, Notre-Dame de Paris est devenue un instrument politique. La question du financement est un axe de réflexion tout aussi évocateur.Pour plus de détails, écoutez l’émission en podcast (Radio Présence 97.7 FM, à Figeac) ! Pas si facile d’être animateur-radio finalement, mais une bonne expérience dans la préparation de leur Grand Oral et un plus pour leurs études post-bac.

https://www.radiopresence.com/emissions/culture/decouverte/paroles-de-jeunes/article/restauration-notre-dame

Le dispositif Enfant Intellectuellement Précoce très créatif !

Le dispositif pour des enfants intellectuellement précoce EIP du collège accueille cette année une vingtaine de jeunes collégiens répartis dans les différentes classes de la 6ième à la troisième. Ces jeunes qui ont besoin d’être nourris intellectuellement et d’appréhender des sujets à l’aide d’une pédagogie de projet, ont accès toutes les semaines à un club EIP. Ce temps leur permet de se retrouver entre eux et d’explorer diverses thématiques. A mi- année, première mise en commun des travaux, ce jeudi 14 janvier. En introduction un chant de Noël en chinois, suivi d’une boite de jeux autour des principales numérations en mathématiques, puis d’un jeu du loup garou en technologie. La culture manga n’a pas été oubliée en français et le bouquet final revient au cinéma audiovisuel avec une bande annonce pour un film d’horreur. Une conclusion zen, rejoint par l’intervenant en yoga, autour de la galette des rois. Ce premier semestre est une réelle réussite de part la qualité des projets et l’investissement des jeunes du dispositif.

Le patrimoine, une notion de science politique à ne pas négliger.

Les élèves de l’enseignement de spécialité Histoire-Géographie-Géopolitique-Sciences Politiques du Lycée Jeanne d’Arc travaillent actuellement sur la notion de patrimoine : ils ont rencontré en visio-conférence, deux anciens élèves. Un de ces élèves est aujourd’hui à l’Ecole du Louvre. Il leur a démontré l’importance du patrimoine, et de la patrimonialisation dans la diplomatie internationale : démarche souvent nommée softpower. Ainsi, un patrimoine matériel ou immatériel devient un objet politique. Pour approfondir cette approche, les élèves ont mené une enquête sur la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris : après dépouillement, les résultats de leurs réflexions seront présentés sous la forme d’une émission de radio, grâce à l’accueil d’Armand Gal dans le studio de Radio Présence le 5 février et une diffusion est programmée en mars. Pour les guider dans cette démarche, une autre rencontre a été essentielle, celle d’une ancienne élève qui est diplômée de Sciences Po – Lyon, actuellement journaliste pour l’AFP (Agence France-Presse) de Munich. Par visio-conférence, et malgré le confinement strict en Allemagne, elle a pu leur présenter son parcours étudiant (et quelques conseils bien utiles pour les concours d’entrée en IEP), son métier, et son statut de « témoin de son temps » qu’elle prend très au sérieux. Ce type de travail qui a grandement intéressé les élèves, pourra valoriser leur dossier Parcoursup, surtout pour ceux ayant un projet d’études de journalisme et de sciences politiques.

Les élèves éco-délégués du collège mènent leur projet de Verger Conservatoire

Les éco-délégués ont participé à une nouvelle étape du projet de Verger Conservatoire au sein de l’établissement Jeanne d’Arc : la plantation des porte-greffes. Ce n’est pas moins de 50 pieds qui ont été plantés avec l’aide de Pierre Rouillon de l’association des Croqueurs de pommes. Malgré les -10°C du matin, à 12h30 le soleil a réchauffé le petit groupe d’élèves et les porte-greffes sont à présent à l’abri dans la terre. Dans une semaine, les éco-délégués leur apporteront de l’engrais organique et du paillage. Il faudra attendre les beaux jours pour commencer la greffe. Merci à Pierre Rouillon d’avoir partagé sa riche connaissance des fruitiers et d’avoir répondu aux nombreuses questions des élèves.